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Lieu-dit:
Bénand
Cadastre sarde
de 1730:
Pas de maison à cet endroit
en 1730
Construction de la maison
(maison Dupraux):
Maison
probablement construite vers 1810 par:
1ère et
2ème génération
François Dupraux (1784-1851) dit
"Canet" se marie
en 1811 avec Josephte Peillex (1781-1834) de Trossy (voir chez
"la Lina"
ou chez "Bolet").Ils
ont trois fils:
Un
côté est habité par: André
Dupraux
(1812-1872) dit "la Barbe" qui se marie en 1835
avec Josephte Dupraux (1809-1880) des Grabelets sous Bénand
(voir chez "Gaspà").
Ils ont huit enfants:
-
Françoise
(1836-1837) âgée
de dix mois
-
Françoise
(1838-1899) qui se marie en 1872 avec Hypolithe
François Montvuagnard (1844-1897). En 1886 ils
sont recensés "impasse de l'église à Evian", Hypolithe
est cantonnier et en 1896 ils sont recensés "Place de l'église à Evian", Hypolithe est journalier
-
François
(1839-1909) dit "la Barbe" qui est recensé
ici en 1896
-
Marie-Hélène
(1842-1845) âgée
de trois ans
-
Lucie
(1844-1900) dit "la Barbe" qui est recensé
ici en 1896
-
Jules-Aubin
(1846-1918) dit "la Barbe" ou "Jules à
Cané" qui est recensé
ici en 1896
-
Marie
Louise
(1847-1883) qui se marie en 1876 avec Joseph Peillex
(1845-1893) de Trossy (voir
chez "les
Séraphins")
-
Claude
Joseph
(185 0-1899)
dit "la Barbe" qui est
recensé à Bénand en 1896
(voir chez "les
Barbes"):
L'autre
côté est habité par:
François
Dupraux
(1814-1874), "le maçon", dit "le
président", qui se marie en 1862 avec
Jeanne Chevallay (1826-1903)
du chef-lieu
(voir chez "le
Cantonnier")
qui
est recensée ici en 1886
Historique
de la maison depuis le recensement de 1886:
Recensement de 1886
(maison
Dupraux)
Seul le côté Est de
la maison est habité:
Jeanne Chevallay
(1826-1903) veuve de François Dupraux (1814-1874),"le
maçon", dit "le président",
vit avec sa fille:
Il manque
quatre enfants:
-
Félix
(né en 1863 à Bénand):
-
absent
du recensement pour cause d'armée dont il était dispensé car
"aîné de veuve", mais il a renoncé à sa dispense
-
réside
à Buenos Aires, Argentine, à partir du 17 juin 1889
-
"condamné
le 10 juin 1892 par le tribunal correctionnel de Chambéry à 15 jours
de prison pour vagabondage"
-
"condamné
le 26 juillet 1892 par défaut par le tribunal correctionnel de
Tarascon à 4 mois de prison pour vol"
-
"déclaré
insoumis le 30 mai 1894"
-
"condamné
le 20 mars 1896 par la cour d'appel d'Aix à deux mois de prison et
200 francs d'amende pour chasse en temps prohibé"
-
"rayé
des contrôles de l'insoumission le 16 juillet 1896 ayant été
arrêté par la gendarmerie de Saint-Louis du Rhône le 5 du
dit". "Condamné le 14 août 1896 par le conseil de guerre
du 15ème corps d'armée à un an de prison pour insoumission",
"réintégé à l'effectif le 14 août 1897 et affecté au
Bataillon d'Infanterie légère d'Afrique"
-
de
retour à Bernex en 1901, il se marie en cette même année avec Marie
Joséphine Madeleine Giuserando (née en 1875 à Istres)
-
à
partir d'octobre 1901 il réside à Marseille, Lançon chez Guicherand
-
à
partir de mars 1903 il réside à Toulon, Vinon,
journalier
chez dellas
-
"condamné
le 23 septembre 1905 par jugement contradictoire du tribunal
correctionnel de Brignoles à trois jours de prison pour coups et
blessures"
-
"condamné
par jugement contradictoire du tribunal correctionnel de Digne le 26
mars 1908, à 4 mois de prison et aux dépens pour vol de
truffes"
-
François
(1865-1872) âgé de sept ans
-
Valentine
(1867-1882) âgée de quatorze ans
-
Josephte
(1868-1892) qui est recensée chez son oncle au chef-lieu en 1886
(voir chez "le
Cantonnier")
Recensement de 1896
Les deux côtés de
la maison sont habités
le côté Est
est habité par:
Jeanne Chevallay
(1826-1903) veuve de François Dupraux (1814-1874), "le
maçon", dit "le président", et sa fille:
le côté Ouest
est habité par:
Jules-Aubin Dupraux
(1846-1918) dit "la Barbe" ou "Jules à Cané" et:
-
son frère et
sa
soeur:
-
sa femme
-
ses
deux filles:
-
Marie (1894-1944)
-
Lucie
(1895-1982)
-
une domestique:
Recensement de 1901
le côté Est
est habité par:
Jeanne Chevallay
(1826-1903) veuve de François Dupraux (1814-1874), "le
maçon", dit "le président", et:
le côté Ouest
est habité par:
Jules-Aubin Dupraux
(1846-1918) dit "la Barbe" ou "Jules à Cané" et:
-
son frère:
-
sa femme:
-
ses cinq filles:
-
Marie (1894-1944)
-
Lucie
(1895-1982)
-
Françoise (1897-1922)
-
Louise
(1898-1969)
-
Alice
(1900-1973)
Recensement de 1906
Seul le côté Ouest de
la maison est habité:
Jules-Aubin Dupraux
(1846-1918) dit "la Barbe" ou "Jules à Cané" et:
-
son frère:
-
sa femme:
-
ses cinq filles:
-
Marie (1894-1944)
-
Lucie
(1895-1982)
-
Françoise (1897-1922)
-
Louise
(1898-1969)
-
Alice
(1900-1973)
-
Marguerite
(1901-1921)
-
Elise (1904-1958)
Recensement de 1911
Jules-Aubin Dupraux
(1846-1918) dit "la Barbe" ou "Jules à Cané" vit avec sa femme Julie Jacquier
(1868-1924) et leurs neuf filles:
-
Marie (1894-1944)
-
Lucie
(1895-1982)
-
Françoise (1897-1922)
-
Louise
(1898-1969)
-
Alice
(1900-1973)
-
Marguerite
(1901-1921)
-
Elise (1904-1958)
-
Adeline (1906-1986)
-
Augustine (1908-1999)
Cadastre de 1920
le côté Est
appartient à:
le côté Ouest
appartient aux:
Recensement de 1921
Les deux côtés de
la maison sont habités
le côté Est
est habité par:
le côté Ouest
est habité par:
Julie Jacquier
(1868-1924) veuve
de Jules-Aubin Dupraux
(1846-1918) dit "la Barbe" ou "Jules à Cané"
et ses neuf filles:
Recensement de 1926
le côté Est
est habité par:
le côté Ouest
est habité par:
Les trois dernières
filles Dupraux:
-
Elise (1904-1958):
-
Adeline (1906-1986):
-
Augustine (1908-1999):
et un de leur
neveu (fils de
Marie (1894-1944) et d'Henry Pizzoli (1897-1973):
Recensements de 1931 et 1936
Seul le côté Est de
la maison est habité:
Vers 1940
(maison Pinget) Adeline
Dupraux (1906-1986) et son mari Louis Pinget (1903-1974) dit "Oui-oui
au Pin" qui habitaient Nice, reviennent habiter ici pendant la
guerre. Par la suite Louis sera garçon de ferme au Châble mais
ils habiteront ici avec leurs deux fils Jean et Michel.
Les surnoms
"Canet", "la Barbe", "le Blanc à Tanti":
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