|
Lieu-dit:
le Fond de Creusaz
Cadastre sarde
de 1730:
Il n'existe
pas de maison à cet endroit en 1730
Construction de la maison:
Maison probablement
construite vers 1800-1810 par deux frères Pinget originaires de Creusaz (voir chez "Francet
au Pin et la Cousta"):
2ème génération
François
Pinget (1780-1840) se marie en 1807 avec Josephte Peillex (1785-1846) de
Trossy
(voir chez "les Pierres"). Ils ont
dix enfants:
-
Rose
Hélène (1808-1866) qui se marie en 1846 avec Paul Trincat
(1814-1893) des Chautets (voir chez les "Trincat
des Chautets")
-
André
(1810-1896) qui est recensé ici en 1886:
-
ordonné prêtre
le 17 mai 1845
-
nommé vicaire successivement
à: Pratz le 20 mai 1845, à Chaumont le 17 avril 1847, à la Clusaz
le 15 juin 1848, à Châtel le 24 janvier 1849, aux Clefs le 10
février 1851, à Saint-Eusèbe le 8 juin 1860
-
nommé curé d'Argentières
le 14 août 1863
-
se retire à Bernex
le 8 mars 1882
-
Jean
(1813-1877) dit "Jean à la Rose" qui se marie en 1848 avec Claudine
Jacquier (1822-1893) de Creusaz (voir chez "la
Bouchlionne")
qui est recensé ici en 1886
-
Joseph (1814-1836) âgé
de vingt-et-un ans:
-
Victoire (1816-1870
à Saint-Paul) qui se marie en 1840 avec François
Viollaz (né vers
1795) de Saint-Paul
-
François
(1819-11 juillet 1861à
Plainpalais) laitier
à Genève
-
Marie
(1820-1891) dit "Marie à la Rose" qui est recensée
dans la maison de son grand-père paternelle
en 1886 (voir chez "Francet
au Pin et la Cousta")
-
Ambroise (1823-1842) âgé
de dix-neuf ans
-
Appollonie (1826-1827)
âgée de neuf mois
-
Josephte (1828-1889
à Thollon) qui se marie en 1856 avec
Jean François Curdy (1831-1892 Chez
Burquier) carrier, dit "Coustoz" de Thollon.
Ils ont six
enfants:
-
Joséphine
(1857 à Thollon-1939) dit "la Cousta" qui est recensée
avec sa tante ci-dessus en 1886 (voir chez
"Francet
au Pin et la Cousta")
-
Marie
Etiennette (1859 à Thollon-1870 à Creusaz) âgée de onze ans
-
Marie André
(1861-1919 à Pierre Grosse) qui se marie à Saint-Paul en 1887 avec Marie
Françoise Ducret (1865-1925) de Saint-Paul
-
Céline (1863-1866) âgée de trois ans
-
Pierre Joseph (1866 à
Thollon-1926) qui se marie en 1912 à Bernex avec
Denyse Sylvie Arrandel (1877-1938) de Charmet (voir chez
"Barnabé au
Trésorier"). Ils habiteront Saint-Paul
-
Marie Céline
Louise (1869 à Thollon-1944 à Evian) qui se marie à
Saint-Paul en 1901 avec Eugène Placide Vesin (1874-1964)
Historique de la maison
depuis le recensement de 1886:
Recensement de 1886
(maison Pinget)
Claudine Jacquier (1822-1893)
veuve de Jean Pinget (1813-1877) dit "Jean à la Rose"
vit avec:
-
son beau-frère:
-
deux de ses enfants:
-
Jean (1849-1905):
-
Judith (1862-1910)
-
une parente:
Il manque:
-
cinq enfants:
- Joseph (1851-1852) âgé de quatorze mois
- Marie Joseph (1853-1918) recensé
ci-dessous en 1896
- François Marie (1855-1921)
dit "Fourin" recensé ci-dessous en 1901
- Marie André (né le 24 août
1858)
- Marie Geneviève (1860-1861)
âgée de deux mois
Recensement de 1896
Joseph Pinget (1853-1918) vit
avec:
-
son oncle:
-
son frère et
sa soeur:
-
Jean (1849-1905)
-
Judith (1862-1910)
-
sa femme:
-
ses deux enfants:
une parente:
Recensement de 1901
Joseph Pinget (1853-1918) vit
avec:
Recensement de 1906
Joseph Pinget (1853-1918) vit
avec:
-
son frère et
sa soeur:
-
sa femme:
-
ses quatre enfants:
Recensement de 1911
Joseph Pinget (1853-1918) vit
avec sa femme Julie Valloud
(1862-1924) de Féternes et leurs quatre enfants:
Cadastre de 1920
En 1920, la maison est
divisée en deux partie égales, en suivant le faîtage:
Recensement de
1921
François Pinget (1892-1968) dit "Muttà",poilu de 14-18 (blessé le 28 août
1914), originaire de Trossy
(voir chez
"le vieux Muttà"), vit avec:
Recensement de 1926
François Pinget (1892-1968) dit "Muttà" vit avec:
Recensement de 1931
François Pinget (1892-1968) dit "Muttà" vit avec:
Recensement de 1936
François Pinget (1892-1968) dit "Muttà" vit avec:
A noter que
cette famille a obtenu le prix Cognacq-Jay en 1935 (créé en 1922, il est
décerné annuellement à 300 familles ayant plus de cinq enfants
et est doté de 20000 Frcs), ce qui valut à Albertine, la
dernière de la famille, de devenir la filleule de M. Lebrun (1871-1950),
président de la république de l' époque !
|