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Les surnoms du Vernay
Chez le Clouty ou chez Cacò |
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Lieu-dit: le Vernay Cadastre sarde de 1730 (maison Blanc): En 1730 il existe une maison qui appartient à:
2ème génération (maison Blanc) François Blanc (1670-1742) se marie en 1693 avec Michellaz Chevallay (1673-1744). Ils ont six enfants:
3ème génération Claude Blanc (1700-1757) se marie en 1735 avec Jacobelle Charles (1709-1759) de Chevenoz. Ils ont un fils:
4ème génération Jean Blanc (1736-1810) se marie en 1756 avec Antoinette Buttay (1729-1765) de Trossy (voir chez "le Général"). Ils ont quatre enfants:
5ème génération Un côté est habité par: Gaspard Blanc (1756-1796) qui se marie en 1782 avec Marie Birraux (1757-1809) du chef-lieu (voir "Hôtel de la dent d'oche"). Ils ont quatre enfants:
L'autre côté est habité par: Charles Blanc (1761-1802) qui se marie à Evian en 1799 avec Jeanne Marie Peillex (1759-1831) de Trossy (voir chez "la Lina" ou chez "Bolet"). Ils ont un fils:
6ème génération Un côté est habité par: François Blanc (1795-1831) se marie à Messery en 1825 avec Rose Boccard (1790-1857 à Douvaine) originaire de Messery. Ils ont deux enfants: L'autre côté est habité par: Charles Blanc (1800-1868) se marie:
Suite à la construction de leur nouvelle maison en 1876, la famille Blanc n'habite plus ici et la maison devient vacante. Elle sera reprise par la famille Curdy de la maison voisine (voir chez "la Fegue") Historique de la maison depuis le recensement de 1886: Recensement de 1886 (maison Curdy) Antoine Curdy (1825-1901) dit "Pipa", maréchal-ferrant, originaire de la maison voisine (voir chez "la Fegue") veuf de Marie Chevallay (1831-1874) de Bénand (voir chez "les Aubins"), vit avec sa 2nde femme Rose Buffet (1828-1896) de Bonnevaux, et son fils né du 1er mariage:
Il manque quatre enfants:
Recensement de 1896 Antoine Curdy (1825-1901) dit "Pipa", forgeron vit avec son fils:
Sa forge se situe de l'autre côté de la rivière dans la continuité du moulin (voir "forge au Clouty"), ainsi il profite de la "bévaire"(le bief en français) pour faire tourner une roue. La forge s'arrêtera apparemment après la guerre de 1914-18. Recensement de 1901 Antoine Curdy (1825-1901) dit "Pipa", vit avec son fils: Recensement de 1906 Marie-Joseph Curdy (1860-1921) dit "le Clouty" vit avec sa femme Célestine Favre (1880-1955) dit "la Célestine à Cacò" de Sur les Crêts (voir chez "Tiòtiò") et leur fils:
Recensement de 1911 Marie-Joseph Curdy (1860-1921) dit "le Clouty" vit avec sa femme Célestine Favre (1880-1955) dit "la Célestine à Cacò" et leurs trois enfants:
Cadastre de 1920 La maison appartient à Marie-Joseph Curdy (1860-1921) dit "le Clouty" Recensement de 1921 Marie-Joseph Curdy (1860-1921) dit "le Clouty" vit avec ses quatre enfants:
A noter que Célestine Favre (1880-1955) dit "la Célestine à Cacò", femme de Marie-Joseph vit seule Chez Masson (voir chez "André Trampin") ! Recensements de 1926, 1931 et 1936 Célestine Favre (1880-1955) dit "la Célestine à Cacò" veuve de Marie-Joseph Curdy (1860-1921) dit "le Clouty" vit avec deux de ses enfants:
Vers 1955 John (1909-1974 à Evian) dit "John à Caco" ou "le Clouty", célibataire sans enfants, rénove la maison. Le temps des travaux il habite avec sa mère Célestine Favre (1880-1955) dit "la Célestine à Cacò" chez "André d'vers l'pont" (voir chez "Pierson"). Puis il ne quittera plus cette maison jusqu'en 1974. Les surnoms "Pipa","Cacò","Clouty":
"Cacò" est autant employé que "Clouty". Les Bernolands peuvent aussi bien parler de "John à Caco" que du "Clouty", c'est la même personne ! |
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