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Les surnoms du Chef-Lieu
Chez la Diodion colonie "La Bonne-eau" |
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Lieu-dit: le Songeon Cadastre sarde de 1730: Il n'existe pas de maison à cet endroit en 1730 Construction de la maison: Maison construite en 1732 par:
2ème génération (maison Chevallay) François Chevallay (1697-1758) dit "Théodule" se marie en 1722 avec Françoise Buttay (1699-1755) du chef-lieu (voir chez "Curdy Fleur"). Ils ont trois enfants:
3ème génération François Chevallay (1731-1789) dit "Tisserand" se marie en 1766 avec Antoinette Chevallay (1741-1796) du chef-lieu (voir chez "Titon"). Ils ont deux fils:
4ème génération Claude Chevallay (1777-1842) dit "Toudel" ou "Tisserand" se marie en ? avec Françoise Gallay (1779-1837) sage-femme. Ils ont onze enfants:
"Les personnes âgées du village se souviennent d'avoir entendu leurs parents raconter qu'en 1827, une énorme inondation avait ravagé le village de Bénand, et un glissement de terrain s'était produit. Le village du Songeon, situé en aval, subit la violence du torrent: on retrouva un cheval sur le plancher du fenil, un bébé fut récupéré bien vivant, flottant dans son berceau transporté par les flots déchainés, sur le toit d'une maison. Mais aucune victime humaine n'ayant été à déplorer (ce qui est faux), cet oratoire fut édifié en signe de reconnaissance", selon le fascicule "Le Patrimoine Religieux de la Vallée de Bernex" paru vers 2000. Cet orage d'une rare violence aurait été très localisé sur le mont Bénand avec des dégats de l'autre côté de la montagne (Laprau, Thollon). Les hommes qui jouaient aux quilles ce jour- là au chef-lieu de Bernex n'auraient pas reçu une seule goutte! Le flot aurait même remblayé en grande partie une maison au pied du hameau (voir chez "Pierson (haut)") 5ème génération Joseph Chevallay (1801 à Attalens, Fribourg-1870) dit "Toudel" se marie en 1835 avec Josephte Curdy (1807-1867) du Vernay (voir chez "Daday"). Ils ont six enfants:
Historique de la maison depuis le recensement de 1886: Recensements de 1886 et 1896 (mitoyenneté Chevallay) Josephte Chevallay (1850-1920) vit avec ses deux filles naturelles:
Recensement de 1901 Josephte Chevallay (1850-1920), tisseuse, vit avec une de ses fille:
Recensement de 1906 (mitoyenneté Birraux) Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot", vit avec:
Recensement de 1911 Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot", vit avec:
Cadastre de 1920 La mitoyenneté de la maison appartient à Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot" Recensements de 1921 et 1926 Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot", réformé pour épilepsie, vit avec sa femme Josephte-Désirée Chevallay (1882-1966) dit "la Diodion" et leurs trois enfants:
A noter qu'Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot", est cafetier en 1919 Recensement de 1931 Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot", vit avec sa femme Josephte-Désirée Chevallay (1882-1966) dit "la Diodion" et deux de leurs trois enfants:
Recensement de 1936 Antoine Birraux (1877-1955) dit "Bérot", vit avec sa femme Josephte-Désirée Chevallay (1882-1966) dit "la Diodion" et leur fils:
Après 1955 Marcel Birraux (1907-1966) dit "Marcel à Diodion" ou "Marcel à Bérot" vit avec sa mère: Vers 1970 (colonie "la Bonne-Eau") La maison est transformée en colonie par:
Le surnom "Diodion":
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