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Lieu-dit:
le chef-lieu, Chez les Chevallay
Cadastre sarde
de 1730:
Il n'existe pas de maison à cet endroit en 1730
Construction
de la maison:
Maison
construite en ? par:
Historique
de la maison depuis le recensement de 1886:
Recensement
de 1886
(maison Mouthon)
Marie-Joseph Mouthon (16
avril
1825
à Taninges-1894), tanneur, vit avec sa femme
Jeannette Premat (vers 1828
à Montriond-1894) et leurs trois enfants:
-
François
(5 août
1860 à
Monthey-1938),
charpentier:
-
Mélanie
(1862 à
Essert-Romand-1927):
-
Joseph-Marie
(1868 à
Abondance-1917
à Saint-Paul):
Il manque
deux fils:
Recensement
de 1896
(maison Jacquier)
Maurice Jacquier (1851-1899) dit "Guérinet" de Trossy
(voir chez le "Maréchal")
vit avec:
Maurice Jacquier (1851-1899) dit "Guérinet" se marie
en cette même année 1896 avec Julienne Buttay (1853-1919) de Chez Buttay
(voir chez "Ti-tiens")
veuve de Paul Birraux (1848-1889) du chef-lieu (voir chez
"François à Charles") En
1901 Julienne et Joseph sont de nouveau recensés à Trossy (voir chez
"le Maréchal")
Recensement
de 1901
(maison Chevallay)
François Chevallay (1864-1920) dit "Bontemps",
"Tientiè" ou "Tientiori", originaire de Sur
les Crêts (voir chez "Nène
à Tientiori")
vit avec sa femme Marie Birraux
(1841-1913) et deux de leurs enfants:
Recensement
de 1906
François Chevallay (1864-1920) dit "Bontemps",
"Tientiè" ou "Tientiori" vit avec sa femme Marie Birraux
(1841-1913) et quatre de leurs enfants:
-
Augustin
(1878-1965) dit "Bontemps" ou "Gustin à Tientiori"
qui habitera le
Vernay (voir chez "Gustin
à Tientiori"):
-
Joseph
(1880-1941
à la
Tour) dit "Bontemps" ou
"Tientiori":
-
se
mariera à La Tour en 1912 avec Louise Marie Métral
(1884-1949). Ils ont deux enfants
-
poilu de
14-18, blessé par balle le 7 mai 1915 à Sedul-Bahr,
ostéite de la clavicule gauche. Intoxiqué par gaz le 25
juillet 1917 à Juvigny, Aisne
-
"s'est fait remarquer durant l'attaque du 25 juillet 1917 où
sous un violent bombardement a continué à servir sa pièce
bien que gravement incommodé par les obus toxiques".
Croix de guerre
-
réside
à La Tour, près de Bonneville, à partir d'août 1920
-
François
(1881-1962) dit "Bontemps" ou
"Tientiori"
-
Eugène
(1885-1968
à la
Tour) dit "Bontemps" ou "Nène à Tientiori":
-
à partir
de décembre 1911, il réside à l'orphelinat Saint-Joseph
de Douvaine
-
à partir
de novembre 1913, il réside à Beauvais, Oise, à l'Institut Agricole
-
poilu
de 14-18, escadron du train "détaché à la mission
française attachée à l'armée britanique", il est
démobilisé le 27 mars 1919
-
il
réside à Chamonix où il avait une longue vue pour montrer le Mont Blanc aux
touristes. Dans les années 1950, les enfants des écoles de Bernex
le voit lors d'une promenade scolaire: ils auront le
droit de regarder dans la lunette sans payer !
-
Il est enterré à
Viuz en Sallaz (célibataire sans enfants)
Recensement
de
1911
François Chevallay (1864-1920) dit "Bontemps",
"Tientiè" ou "Tientiori" qui sera maire
de Bernex de 1912 à 1920, vit avec:
-
sa femme:
un de ses fils:
-
un pensionnaire:
Cadastre
de 1920
La
maison appartient à
François Chevallay (1881-1962) dit "Bontemps" ou
"Tientiori"
Recensements
de
1921 et 1926
François Chevallay (1881-1962) dit "Bontemps" ou
"Tientiori" vit avec sa femme Marie Birraux (1893-1988) dit "la Mimi à Tientiori", originaire du
chef-lieu
(voir chez le "Cantonnier")
et leurs trois enfants:
-
Marc
(né
en 1915) dit "Marc à Tientiori"
-
Berthe
(1919-1996) dit "Berthe à Tientiori"
-
Ferdinand
(1921-1963) dit "Ferdinand à Tientiori"
Recensements
de 1931
et 1936
François Chevallay (1881-1962) dit "Bontemps" ou
"Tientiori" vit avec sa femme Marie Birraux (1893-1988)
dit "la Mimi à Tientiori"
et leurs quatre enfants:
-
Marc
(né
en 1915) dit "Marc à Tientiori" qui habitera
Renage, Isère:
Berthe
(1919-1996
à Evian)
dit "Berthe à Tientiori":
Ferdinand
(1921-1963) dit "Ferdinand à Tientiori" qui habitera le
Songeon (voir chez
"Boisseaux
de l' Envers"):
Evelyne
dit "Evelyne à Tientiori":
Les
surnoms "Bontemps" et "Tientiori":
-
"Bontemps"
est un surnom très répandu à travers
la France et la Belgique, et c'est également un nom de famille qui
désignerait quelqu'un de gai, joyeux, tout le temps de bonne
humeur.
Le
surnom "Bontemps" est resté à Trossy avec les deux frères
Chevallay: Antoine
(1811-1848) et André (1796-1871).
Il est prononcé "Bontin" aujourd'hui, plus que "Bontemps".
-
Quant au
troisième frère François Chevallay (1815-1897), sa descendance va être surnommée
"Tientiori" car c'est le surnom patois de François (qui donne
"Sancet" et "Tientiè"
puis "Tientiori").
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