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Les surnoms de Chez Les Râcles
Chez Do-yon |
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Lieu-dit: Chez les Râcles (anciennement Luxillié) Cadastre sarde de 1730 (maison Buttay): Une maison existe à cet endroit en 1730, elle appartient à:
2ème génération André Buttay (?) se marie en 1703 avec Pétronille Blanc (née en 1673) de Saint-Paul. Ils ont deux filles (Claudine à confirmer):
3ème génération (maison Peillex) Françoise Buttay (vers 1725-1772 à Féternes) se marie:
4ème génération Pierre-Etienne Peillex (1745-1807) se marie à Féternes en 1770 avec Antoinette Pellissier (1750-1844) d'Evian. Ils ont huit enfants, les six premiers sont nés à Evian tandis que les deux derniers sont nés à Bernex:
5ème génération François Peillex (1782-1870) se marie en 1817 avec Marie Buttay (1792-1870) de Chez Buttay (voir chez "Ti-tiens"). Ils ont onze enfants:
Historique de la maison depuis le recensement de 1886: Recensement de 1886 (maison Peillex) Jean-Marie Peillex (1823-1905) dit "Mariet à Peillex" vit avec sa femme Hélène Peillex (1820-1902) de Trossy (voir "Peillé de vers la Râce") et leur fille unique:
Recensement de 1896 Jean-Marie Peillex (1823-1905) dit "Mariet à Peillex" vit avec sa femme Hélène Peillex (1820-1902) et:
Recensement de 1901 Jean-Marie Peillex (1823-1905) dit "Mariet à Peillex" vit avec sa femme:
Recensement de 1906 La maison est inoccupée. Recensement de 1911 (maison Ducret, Birraux) La maison est mitoyenne Un côté est habité par: Marie Peillex (1864-1914) originaire de la maison voisine (voir chez "Pice"), veuve de Joseph Ducret (1863-1907) dit "Do-yon" et nièce de Jean-Marie Peillex (1823-1905) dit "Mariet à Peillex" ci-dessus, ainsi que ses deux enfants:
Notre Région Espionne condamnée à mort. Le conseil de guerre de Grenoble a condamné à mort pour espionnage la fille Sidonie Ducret, 21 ans, originaire de Bernex (Haute-Savoie). Bonne d'hotel à Genève, Sidonie Ducret était entrée en relations avec un agent d'espionnage allemand , à qui elle a fourni des renseignements sur la composition des armées et les points de chute des obus dans la région parisienne. Deux autres inculpés , Lacroix et Buchillen, originaires de Genève, ont été acquittés. Article paru le 18 juin 1918 dans le "Nouvelliste Valaisan"L'autre côté est habité par: François Birraux (1873-1925) dit "Nina", fermier pour M. Peillex, qui habitait Chez Masson (voir chez "Nina") et sa femme Joséphine Marchand (1876-1957) dit "la Fine à Nina" de Saint-Paul ainsi que leurs quatre enfants:
Cadastre de 1920 La maison, qui est partagée en deux parties égales, appartient:
Recensement de 1921 (maison Birraux) François Birraux (1873-1925) dit "Nina", poilu de 14-18, "réformé en 1916 pour tuberculose pulmonaire", vit avec sa femme Joséphine Marchand (1876-1957) dit "la Fine à Nina" de Saint-Paul ainsi que leurs six enfants:
En 1926 ils habitent un peu plus bas dans le hameau (voir chez "Pipa"). Recensement de 1926 (maison Ducret) Barnabé Ducret (1899-1970) dit "Barnabé à Do-yon", poilu de la guerre de 14-18 est de retour et vit avec sa femme:
Ils auront une petite Julia Raymonde: décédée à l'âge de deux ans et demi Recensement de 1931 Barnabé Ducret (1899-1970) dit "Barnabé à Do-yon" vit avec sa femme Germaine Viollaz (1902-1975) et leur fils:
Recensement de 1936 Barnabé Ducret (1899-1970) dit "Barnabé à Do-yon" vit avec sa femme Germaine Viollaz (1902-1975) et un neveu:
Les surnoms "Mariet","Do-yon","Nina":
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