Les surnoms de Chez Les Râcles

Situation

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 Chez les Tônon

Lieu-dit: Chez les Râcles (anciennement Luxillié)

Cadastre sarde de 1730:

Pas de maison à cet endroit en 1730.

Construction de la maison:

Maison probablement construite vers 1800 par:

  • Jean Peillex (?) originaire de ?

2ème génération

Jean Peillex (?) se marie avec Barbe Cardinaux (?). Ils ont un fils:

  • Antoine (vers 1802 à Châtel-Saint-Denis, canton de Fribourg-1868 Chez les Râcles) dit "Tônon"

3ème génération

Antoine Peillex (vers 1802-1868) dit "Tônon", maire de Bernex de 1860 à 1861, se marie en 1842 avec Julie Peillex (1812-1870) tisseranne, originaire de Trossy (voir chez "Martin"), mais qui habite Grange-Blanche (voir chez "les Buttay de Thonon"). Ils ont cinq enfants:

  • François (1843-1845) âgé de deux ans

  • Eugène (1844-1880 à Corsier, Genève) dit "Tônon", domestique

  • Paul (1847-1900) dit "Tônon", qui est recensé ici en 1896

  • Marie (1848-1927) qui est recensée ici à partir de 1901 se marie à Brens en 1884 avec Louis Paulin Cottet (né en 1852) de Brens. Ils sont recensés au hameau de Langin à Brens en 1886

  • Maurice (1850-1903) dit "Tônon", qui est recensé ici en 1901

Historique de la maison depuis le recensement de 1886:

Recensement de 1886 

(maison Cristuibe)

Bernard Cristuibe (vers 1844 à Ornavasso, Italie-1896 à Saint-Paul) dit "Paul", menuisier, vit avec une domestique:

  • Marie Ducrettet (né le 24 mars 1853 à Abondance)

Ils sont recensés successivement:

  • au hameau des Faverges, commune de Saint-Paul, en 1896 avec, en plus, une fille: Marie Ducrettet (née le 23 janvier 1890 chez les Râcles)

  • au chef-lieu de Bernex en 1901 (voir chez le "Cantonnier")

Recensement de 1896 

(maison Peillex)

  • Paul Peillex (1847-1900) dit "Tônon", vit seul.

Recensement de 1901

Maurice Peillex (1850-1903) dit "Tônon", qui était recensé comme meunier au chef-lieu en 1896 (voir chez "Fred du Moulin") vit avec sa soeur: 

  • Marie (1848-1927):

    • elle était recensée au hameau de Langin à Brens avec son mari Louis Paulin Cottet (né en 1852) de Brens

Recensements de 1906 et 1911

Marie Peillex (1848-1927) vit avec sa cousine: 

Cadastre de 1920

La maison appartient à Marie Peillex (1848-1927), veuve d'André Louis Paulin Cottet 

Recensement de 1921

Marie Peillex (1848-1927) vit avec: 

  • sa cousine:

    • Pauline Pinget (1898-1983)

  • et la fille de sa cousine Pauline:

    • Marie Trincat (1920-2006)

     

Recensement de 1926 

(maison Trincat)

Adolphe-François Trincat (1900-1981) dit "Fanfoué à Liaude" de Chez Feurgeon (voir chez "Lucien à Liaude") vit avec: 

  • sa femme:

    • Pauline Pinget (1898-1983)

  • ses deux enfants:

    • Marie (1920-2006)

    • Armand dit "Armand à Liaude" (1922-1994)

  • sa tante:

    • Marie Peillex (1848-1927) notée Marie Cottet

Recensement de 1931

Adolphe-François Trincat (1900-1981) dit "Fanfoué à Liaude" vit avec sa femme Pauline Pinget (1898-1983) et leurs trois enfants: 

  • Marie (1920-2006) 

  • Armand dit "Armand à Liaude" (1922-1994)

  • Hélène

Recensement de 1936

Adolphe-François Trincat (1900-1981) dit "Fanfoué à Liaude", scieur, vit avec sa femme Pauline Pinget (1898-1983) et leurs trois enfants: 

  • Marie (1920-2006): 

    • se marie une 1ère fois à Paris en 1946 avec Charles Emilien Rousselle (1909-1958 à Evian) contremaître, originaire de Guise, Aisne

    • se marie une 2nde fois à Thonon en 1961 avec Georges Joseph Blanc (1919-2005 à Thonon) originaire de Thollon

  • Armand dit "Armand à Liaude" (1922-1994):

    • se marie en 1953 avec Clémence Thérèse Servoz originaire de Creusaz (voir chez "Mami")

  • Hélène:

    • se marie en 1948 avec Félix Christin (1922-1979) de Sur les Crêts (voir chez "Titon")

Les surnoms "Tônon" et "Liaude":

  • "Tônon" vient du diminutif du prénom d'Antoine Peillex (vers 1802 à Châtel-Saint-Denis-1868) dit "Tônon". Il n'est plus employé aujourd'hui (seulement une poignée de personnes le connait encore)

  • "Liaude" vient de la déformation du prénom de Claude Trincat (1811-1890), grand-père d'Adolphe-François Trincat (1900-1981) dit "Fanfoué à Liaude". Les Bernolands connaissent bien ce surnom qui est encore utilisé aujourd'hui et qui est parfois prononcé "Glaude" ou encore "Yaude"