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Les surnoms du Pied de Trossy
Chez Dupraux |
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Lieu-dit: Trossy Cadastre sarde de 1730: Il n'existe pas de maison à cet endroit en 1730. Construction de la maison: Maison probablement construite vers 1860 par:
Historique de la maison depuis le recensement de 1886: Recensement de 1886 (maison Dupraux) Joseph Dupraux (1834-1914) charpentier, vit avec sa femme Véronique Boisseaux (1832-1918) originaire du Songeon (voir chez "Boisseaux de l' Envers") et quatre de leurs enfants:
Il manque les deux aînés:
Recensement de 1896 Joseph Dupraux (1834-1914) charpentier, vit avec sa femme Véronique Boisseaux (1832-1918) et deux de leurs enfants:
Recensement de 1901 Joseph Dupraux (1834-1914) charpentier, vit avec:
Recensement de 1906 Joseph Dupraux (1834-1914) charpentier, vit avec:
Recensement de 1911 Joseph Dupraux (1834-1914) vit avec sa femme Véronique Boisseaux (1832-1918) et leur fils:
"Cultivateur fusillé: Evian-les-Bains 5 février. (par dépêche de notre correspondant particulier.) La nuit dernière à la suite d'une discussion entre les nommés Dupraux, âgé de 34 ans, et Joseph Jacquier, âgé de 30 ans, cultivateurs de Bernex, Dupraux a fusillé Jacquier à bout portant. La victime a été transportée à l'hôpital dans un état désespéré. Ce matin, Dupraux s'est constitué prisonnier à Evian." Article paru dans Le Journal du 6 février 1912: "— Jeudi a comparu, sous l'inculpation de tentalive d'homicide, le nommé François Dupraux, né à Bernex, cultivateur, demeurant à Bernex, célibataire. Voici les faits : le 2 février dernier, vers 1 h. du matin, M. Maurice Jacquier regagnait son domicile à Bernex, lorsqu'il fut atteint par un coup de feu tiré à 12 ou 15 mètres de lui. L'arme dont il avait été fait usage était chargée avec du plomb n° 0. Jacquier reçut des blessures nombreuses aux épaules, à la nuque et dans le cuir chevelu: ces blessures n'ont pas eu de conséquences funestes et ont seulement déterminé une incapacité de travail de 50 jours environ. Mais la courte distance à laquelle le coup a été tiré, la charge employée, la partie du corps visée par l'agresseur ne peuvent laisser aucun doute sur l'intention qu'avait celui-ci de donner la mort à sa victime. Dupraux est condamné à 10 ans de travaux forcés et 10 ans d'interdiction de séjour." Article paru dans L'Avenir savoyard du 9 mai 1912 Cadastre de 1920 La maison appartient à André Dupraux (1869-1944) Recensement de 1921 André Dupraux (1869-1944) vit avec sa femme Alice Seydoux (1877-1953) dit "la Fouère" et leur fille:
Recensement de 1926 André Dupraux (1869-1944) vit avec:
Recensement de 1931 André Dupraux (1869-1944) vit avec:
Recensement de 1936 La maison est vacante car la famille Dupraux a déménagé dans la maison voisine (voir chez "la Fouère") Après 1936 (location Jacquier) La maison sera louée, notamment à:
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