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Les surnoms du Pied de Trossy
Chez Lucien à Barnà |
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Lieu-dit: Trossy Cadastre sarde de 1730 (maison Dupraux): En 1730, il existe à cet endroit une "maison et grange" qui appartient à:
2ème génération Pierre Dupraux (1702-1778) se marie:
Pierre Dupraux aurait eu quinze enfants, selon l'arbre généalogique du curé de Bernex effectué vers 1920 ! 3ème génération Claudy Dupraux (1738-1808) se marie en 1768 avec Aimée Favre (vers 1739-1811) de Vacheresse. Ils ont quatre enfants:
4ème génération Pierre Dupraux (1769-1818), charpentier se marie en 1800 avec Péronne Péray (1776-1836) de Thollon. Ils ont sept enfants:
5ème génération André Dupraux (1805-1852), charpentier, se marie en 1829 avec Josephte Arrandel (1801-1868) de Charmet (voir chez "Mariet"). Ils ont six enfants:
Historique de la maison depuis le recensement de 1886: Recensement de 1886 (maison Dupraux) André Dupraux (1835-1919) charpentier vit avec sa femme Marie Pinget (1840-1901) de Trossy (voir chez "le Blanc à Boccà") et leurs deux filles: Recensement de 1896 André Dupraux (1835-1919) charpentier vit avec sa femme Marie Pinget (1840-1901) et leur fille:
Recensement de 1901 André Dupraux (1835-1919) charpentier vit avec sa femme:
Après le décès de sa femme, André Dupraux (1835-1919) habitera chez sa fille (voir chez "Barnà") Recensements de 1906 et 1911 La maison est inoccupée. Cadastre de 1920 La maison appartient à André Dupraux (1835-1919) feu André Recensement de 1921 (location Jacquier) Joseph Jacquier (1887-1972) dit "le vieux Cayen" (poilu de 14-18:"intoxiqué par gaz ypérite le 10 mars 1918 au pied du Mort-Homme"), vit avec sa femme Sylvie Chaffard (1891-1954) du hameau de la Beunaz à Saint-Paul et leur fils:
En 1911, ils habitaient chez le grand-père de Sylvie (voir chez "Lucien à Liaude"). En 1926, ils sont recensés sur le haut de Charmet (voir chez "Pierre Birraux") Recensements de 1926 et 1931 La maison est inhabitée. Recensement de 1936 (maison Jacquier) Lucien Jacquier (1909-1980) dit "Lucien à Barnà", boulanger (petit-fils d'André Dupraux (1835-1919) ci-dessus) originaire d'une maison voisine (voir chez "Barnà") vit avec sa femme Clothilde Birraux (1913-1982) du Songeon (voir chez "Dodion") et leurs deux filles:
Ils déménageront ensuite de l'autre côté de la route (voir chez "Failléron") "MEURTRE INVOLONTAIRE. Jacquier Lucien-François, 25 ans, boulanger à Bernex, doit répondre de la mort de Mlle Birraux (voir chez "Nina") qui était atteinte périodiquement de troubles cérébraux. Jacquier aurait écrasé involontairement la tête de la victime avec son automobile. L'accident avait eu lieu en janvier vers les 6 heures du soir, l'obscurité régnait. Les témoins défilent et on a l'impression que les dépositions sont mitigées de parti-pris. A un moment donné, un quidam se trouvant au fond de la salle proteste d'une voix tonitruante contre la déclaration d'un témoin. Le Président du Tribunal rappelle à l'ordre: — Les personnes que les débats incommodent sont priées de sortir. L'huissier sort le perturbateur avec tous les honneurs dûs à son rang. On entend cette déclaration suave d'un témoin : — Dans ces histoires-là, chacun s'occupe un peu de soi! Il se fait tard et les plaidoiries sont remises à huitaine." Article paru le 18 mai 1935 dans le Petit Dauphinois Lucien Jacquier (1909-1980) dit "Lucien à Barnà" a été accusé à tort dans cette affaire ! Vers 1955 La maison est reprise par Bernard Jacquier (1903-1984) dit "Bernard à Barnà", frère de Lucien ci-dessus. Il y vit avec sa femme:
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